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Je suis en micro et je peux enfin co-facturer avec mes sous-traitants !

1. Hello Alix ! Peux-tu nous raconter ton parcours en tant qu’indépendante ?

Je m’appelle Alix du Halgouët. Après 10 ans en communication j’ai choisi de me reconvertir et de tenter le vieux rêve qui m’habitait depuis toujours : devenir Architecte d’Intérieur. Je suis désormais à mon compte depuis 2 ans et demi. Actuellement, je travaille pour des chantiers résidentiels à Paris ou en région parisienne mais je n’exclus pas d’élargir mon spectre à l’avenir.

Une fois mon diplôme en poche, j’ai choisi assez naturellement le statut d’auto-entrepreneur. Je voulais éviter des formalités administratives compliquées et opter pour un statut facilitateur. Ce choix s'est donc imposé rapidement.

2. Comment développes-tu ton activité ? Peux-tu nous parler de tes collaborations ?

Dès ma première année d’activité, j'ai commencé à collaborer avec des stagiaires. J'ai découvert que travailler en équipe était extrêmement précieux, surtout dans un contexte souvent solitaire. À plusieurs, on est plus efficaces !

Avec le caractère cyclique de mon activité, alternant entre périodes de rush et périodes plus calmes, l'aide d'un freelance est devenue indispensable. J'ai ainsi eu l'occasion de retravailler avec Juliette, ma première stagiaire, devenue indépendante entre-temps. Notre collaboration est fluide grâce à notre bonne connaissance mutuelle. Juliette prend en charge une grande partie de la gestion de projet. Une fois cette collaboration officialisée, il ne manquait plus qu'un soutien administratif pour parfaire notre organisation.

3. Comment t’organisais-tu avant Collective.work pour gérer la facturation avec tes sous-traitants ? As-tu rencontré des problèmes ?

Avant d’utiliser Collective, je n'avais pas de solution efficace pour gérer ma sous-traitance. Mon problème était le suivant : je souhaitais rester l'unique interlocuteur du client, en particulier pour la facturation, afin d'éviter qu'il ait à enregistrer deux RIB et à effectuer deux virements.

La seule option était de facturer le client et de payer Juliette moi-même, ce qui m’obligeait à déclarer la totalité de la facture à l’URSAAF, bien qu’une partie soit pour Juliette. Cela me faisait perdre de l’argent, car je payais des impôts sur le cumul de nos deux revenus. En discutant de ce problème, une amie ayant vécu une situation similaire m’a recommandé Collective.work.

4. Et maintenant, comment t’organises-tu ?

Je passe désormais par Collective pour facturer mes clients. Je saisis le montant total de la facture ainsi que la répartition entre les différentes parties prenantes du projet et le tour est joué. Mes clients n’ont plus qu’un seul virement à effectuer et chacune de nous déclare à l’URSAAF son revenu réel.

Cette solution répond à toutes mes attentes :

  • Je suis le seul point de contact pour le client.
  • Mes clients voient uniquement le montant total de la facturation.
  • Je suis la seule à connaître la répartition des montants.
  • Mes sous-traitants ne voient que leurs factures individuelles.
  • Je prends à ma charge 100% de la commission de Collective (1,9%), évitant ainsi que mes sous-traitants soit pénalisés par ce mode de facturation

5. Quelles sont tes perspectives désormais ? Comment souhaites-tu faire évoluer ta carrière ?

Grâce à Collective, je peux désormais solliciter davantage d'aide pour mes projets. Je vais continuer à développer mon activité en acceptant de nouvelles missions, sans craindre de manquer de temps pour les gérer seule, ni de payer trop de taxes taxes en collaborant avec des freelances.

Juliette Magdelénat

GTM & Growth Lead

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